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Dans l’administration publique, chaque ministère ou organisme possède son propre protocole de correspondance, qui contient des directives particulières concernant la présentation et la rédaction de la lettre. Il n’existe cependant aucun ouvrage de référence qui serve de protocole épistolaire pour l’ensemble de la fonction publique. Le présent chapitre vise à combler cette lacune. Il contient l’essentiel de ce qu’on doit savoir lorsqu’on rédige une lettre.
L’en-tête désigne la partie de la lettre où figure l’appellation officielle du ministère ou de l’organisme auquel appartient le signataire. Dans l’administration fédérale, les en-têtes de lettre sont bilingues et sont généralement assujettis aux normes graphiques du Conseil du Trésor :
La règle veut que ce soit le français qui figure à gauche au Québec, et l’inverse dans les autres provinces et territoires.
La date est un des éléments essentiels de la lettre; il faut toujours l’indiquer. Elle se place, de façon générale, dans l’angle supérieur droit, à quelques interlignes au-dessous de l’en-tête. Elle doit être écrite au long, sans abréviation, et n’est pas suivie du point final. Le nom du mois ne prend pas de majuscule, et on ne met pas de virgule entre l’indication du mois et celle de l’année :
Il n’est pas courant dans la correspondance administrative d’indiquer le jour de la semaine. Cependant, si on tient à le faire, on peut l’écrire de la façon suivante :
Si le papier utilisé ne comporte pas d’en-tête, la date doit être précédée du nom du lieu de départ de la lettre. Une virgule sépare alors le lieu de la date :
On entend par vedette le nom, le titre et l’adresse complète du destinataire. Il est d’usage de placer la vedette contre la marge de gauche, quelques interlignes au-dessous de la mention de la date.
Le nom du destinataire est indiqué en toutes lettres, précédé du titre de civilité, qui est toujours écrit au long. Sur la ligne suivante figure le titre de fonction, s’il y a lieu. L’adresse complète vient ensuite. Chaque ligne commence par une majuscule, sauf si elle est la continuation de la ligne précédente :
Pour connaître les règles d’écriture des adresses qui servent à la livraison du courrier, soit celles figurant sur les enveloppes et les colis, consultez la Recommandation linguistique Écriture des adresses postales au Canada.
Pour l’adresse du destinataire ou de l’expéditeur figurant sur du papier à en-tête, dans des blocs-signatures, sur des cartes professionnelles, des panneaux de signalisation, etc., on recommande de suivre les règles ci-dessous.
Les éléments de l’adresse sont assujettis à des règles d’écriture particulières.
Il convient de présenter les éléments de l’adresse en allant du particulier au général :
En français, le numéro est toujours suivi d’une virgule :
Le terme générique désignant la voie de communication, comme rue, avenue, boulevard, place, chemin, s’écrit en toutes lettres et en minuscules. Mais lorsqu’il est précédé d’un adjectif ordinal, il prend une majuscule, comme c’est toujours le cas pour l’élément spécifique de l’odonyme (voir aussi 3.3.8 Voies de communication). Par ailleurs, si cet élément est composé de plusieurs termes, ces termes sont réunis généralement par un trait d’union :
Il convient de toujours écrire le nom de la voie en toutes lettres et de ne pas supprimer le terme générique. Ainsi, il est incorrect d’écrire 15, Eddy, à la place de 15, rue Eddy.
Le point cardinal prend la majuscule initiale lorsqu’il suit le nom de la rue (voir 3.3.2 Points cardinaux). Les abréviations correspondantes (E., O., S., N.) peuvent être utilisées si l’espace est insuffisant :
Les adresses de la fonction publique comportent souvent un numéro de bureau ou d’étage. Dans ce sens, les termes chambre et suite sont des calques de l’anglais et sont par conséquent à éviter. On indique le bureau et l’étage sur la même ligne que le nom de la rue ou, si l’on manque d’espace, sur la ligne précédente :
À des fins d’uniformisation, on recommande de ne pas utiliser l’expression boîte postale (et son abréviation B.P.), et de se servir plutôt de case postale (abréviation C.P.).
Il ne faut pas confondre case postale et casier postal, le casier étant un meuble, ou la partie d’un meuble, qui contient une série de cases, de compartiments.
Le nom de la ville, ou de la municipalité, s’écrit au long avec une majuscule initiale aux divers éléments de l’appellation. Il est recommandé de respecter, dans la mesure du possible, la forme officielle qui a été établie pour ce nom. Les toponymes (noms de lieux) n’ont, sauf exception, qu’une seule forme officielle.
On écrit également le nom de la province en toutes lettres, à côté du nom de la ville, entre parenthèses :
La Société canadienne des postes a établi, pour chacune des provinces, un indicatif international à deux lettres qu’elle recommande d’utiliser dans l’adresse optimale (voir la Recommandation linguistique Écriture des adresses postales au Canada). L’emploi de ces indicatifs, qui peuvent être facilement lus par des machines, est conseillé dans les cas où l’espace est insuffisant pour écrire le nom de la province au long (par exemple dans le cas des enveloppes à fenêtre ou des étiquettes). L’indicatif est alors séparé du nom de la municipalité par une espace, et ne figure pas entre parenthèses :
Province ou territoire | Indicatif (Postes Canada) |
---|---|
Alberta | AB |
Colombie-Britannique | BC |
Manitoba | MB |
Nouveau-Brunswick | NB |
Terre-Neuve-et-Labrador | NL |
Nouvelle-Écosse | NS |
Territoires du Nord-Ouest | NT |
Nunavut | NU |
Ontario | ON |
Île-du-Prince-Édouard | PE |
Québec | QC |
Saskatchewan | SK |
Yukon | YT |
Voir aussi 1.1.26 Provinces et territoires.
Le code postal doit figurer sur la même ligne que les indications de la municipalité et de la province; il est séparé de la mention de la province par deux espaces. Si l’espace est insuffisant, il figure sur la dernière ligne, contre la marge de gauche :
Le nom du pays ne figure que sur les envois destinés à l’étranger. On le met seul sur la dernière ligne de l’adresse, en majuscules. On l’écrit de préférence en français ou en anglais, ou dans la langue du pays de destination. Pour ce qui est des autres éléments de l’adresse, on suit les usages du pays de destination :
Les éléments de l’adresse peuvent être rédigés en anglais ou en français, en tenant compte de la langue du destinataire et de la province ou du territoire de réception. Quelques grands principes s’appliquent cependant à la transposition des adresses en français :
On peut le traduire si l’on sait que l’on s’adresse à un francophone. En cas de doute, il faut s’abstenir.
Il n’est conseillé de traduire ces mentions que si l’on en connaît la forme officielle en français.
Les génériques Tower, Complex, Centre peuvent être traduits par les termes « tour », « complexe », « centre ». Quant au terme Building, qui peut se traduire par « édifice » ou par « immeuble », il n’est pas traduit lorsqu’il entre dans une appellation dont il n’existe pas d’équivalent officiel en français.
Il est conseillé de traduire uniquement les termes génériques pour lesquels il n’existe en français qu’un seul équivalent (soit Street, Avenue, Boulevard). À noter que les termes Street et Avenue ne sont pas traduits lorsqu’ils sont précédés d’un numéral ordinal :
On ne met pas de virgule entre le numéro et l’odonyme dans les cas où l’on n’a pas traduit celui-ci :
Le point cardinal est traduit chaque fois que le générique l’a été.
Dans les cas où l’odonyme est donné en français, on traduit les termes Apartment, Room, Suite, Floor, Ground Floor par « appartement », « porte » ou « bureau », « étage », « rez-de-chaussée ».
Les adresses ainsi traduites ne présenteront pas toujours un aspect homogène, c’est-à-dire qu’elles pourront comporter des éléments en français et d’autres en anglais. Cette incohérence apparente se justifie par le fait que chaque élément de l’adresse concerne des personnes et des services différents (le facteur, le destinataire, etc.).
Pour toute adresse inscrite dans le corps d’un texte, si elle est destinée à être retranscrite sur une enveloppe ou un colis, on doit suivre les règles énoncées dans la Recommandation linguistique Écriture des adresses postales au Canada.
Si on doit taper l’adresse du destinataire dans le corps de la lettre (ou dans un texte suivi), les éléments sont séparés par des virgules, sauf le code postal qui est séparé de la mention de la province par deux espaces.
Les références sont les mentions, en général un groupe de lettres ou de chiffres, qui servent au classement de la correspondance et facilitent sa consultation ultérieure. Dans l’administration fédérale, ces mentions, le cas échéant, paraissent contre la marge de droite, à quelques interlignes au-dessous de l’en-tête.
Lorsqu’une lettre est adressée à une entreprise ou à un organisme mais qu’elle doit être remise à une personne en particulier, on inscrit, sous la vedette, la mention À l’attention de, contre la marge de gauche. Cette mention est soulignée et s’écrit au long. Calquées sur l’anglais, les abréviations attn ou att. ne sont pas admises :
Les mentions Personnel, Confidentiel, Recommandé se mettent à gauche, au- dessus de la vedette, vis-à-vis de la date. Elles s’écrivent en majuscules et sont soulignées (voir 8.1.17 Modèle de lettre).
La mention sous toutes réserves, ou sous réserve de tous droits, se place généralement en haut, à gauche, et elle s’écrit en majuscules. L’expression sans préjudice, utilisée dans ce sens, est tenue pour un calque de l’anglais without prejudice.
L’objet indique, en quelques mots, ce sur quoi va porter la lettre et vise à faciliter son classement. Cette mention se place contre la marge de gauche ou au centre, sous la vedette et les références. Elle commence par la majuscule initiale et est soulignée.
Les mots Sujet ou Concerne sont à éviter, de même que la mention Re, réservée à la correspondance anglaise.
L’appel est la formule de salutation par laquelle on commence la lettre. Cette formule, qui varie selon le destinataire, doit figurer contre la marge de gauche, au-dessous de l’objet. Elle n’admet aucune abréviation, commence toujours par la majuscule et est suivie d’une virgule (et non des deux points).
Les formules d’appel les plus courantes sont :
Si la lettre est adressée à une entreprise ou à un organisme, et non à une personne en particulier, la formule d’appel qu’il convient d’utiliser est Mesdames, Messieurs.
Si on ne connaît pas le nom de la personne à qui est adressée la lettre, il est recommandé d’utiliser la formule Madame, Monsieur.
Les termes des formules Madame, Monsieur, ou Mesdames, Messieurs, peuvent s’écrire sur une même ligne ou être disposés sur deux lignes différentes, l’un au-dessous de l’autre :
On réservera l’adjectif cher aux correspondants que l’on connaît bien :
Il est recommandé d’indiquer dans l’appel, s’il y a lieu, le titre ou la fonction officielle du destinataire :
Le titre Maître est réservé aux avocats et aux notaires.
On évitera de se servir de la formule À qui de droit lorsqu’on ignore le nom de la personne qui lira la lettre. Cette expression peut toutefois être utilisée à l’intérieur d’une phrase pour désigner l’autorité :
Si la lettre est adressée à une femme, il est recommandé d’utiliser la forme féminine correspondant au titre de fonction :
Dans le cas d’une lettre adressée à un couple, on peut se servir de la formule d’appel Madame, Monsieur. Dans la vedette, on pourra écrire :
Il se divise en trois parties :
C’est dans le premier paragraphe que l’on fait l’entrée en matière, en rappelant une correspondance, une rencontre ou une conversation antérieure, par exemple.
Il faut entrer rapidement dans le vif du sujet; on évitera donc des formules comme Le but de la présente est de vous aviser que…, Nous vous écrivons aujourd’hui pour vous informer…
L’introduction doit être simple :
Les paragraphes qui suivent l’introduction sont consacrés à l’exposé de chacune des idées, de préférence une idée par paragraphe. Il est important de relier soigneusement les différentes idées les unes aux autres par les charnières ou les mots de liaison appropriés (comme en effet, par ailleurs, par contre, cependant, néanmoins, d’une part, d’autre part, en plus, ainsi, donc, ensuite, à ce sujet, de fait).
Si la lettre a plus d’une page, on évite de couper le dernier mot de la première page. On évite également de mettre sur la dernière page uniquement la formule de salutation et la signature.
L’avant-dernier paragraphe, qui sert de conclusion, contient la synthèse de ce qui précède, et se termine par une demande, une proposition, une opinion, etc., selon le cas :
Il arrive que la formule de salutation serve de conclusion lorsque la lettre est courte. On peut ajouter en début de phrase une mention du type Dans l’espoir de vous rencontrer bientôt, Dans l’attente de vos nouvelles… Il faut toutefois veiller, dans ce genre de phrase, à donner au sujet de la proposition placée en tête de phrase le même sujet que celui de la principale :
La lettre se termine par une formule de politesse appelée salutation. Cette formule varie en fonction des rapports hiérarchiques ou personnels que l’on entretient avec le destinataire, et en fonction des usages établis dans l’organisation. Selon le respect que l’on désire marquer au destinataire, on commence la formule de salutation par :
La fin de la salutation diffère également selon le destinataire :
À un fonctionnaire ou à une relation d’affaire
À un supérieur
À un ministre, à un haut fonctionnaire
Exemples de formules de salutation :
La signature figure généralement contre la marge de droite, au-dessous de la formule de salutation. En principe, le titre de fonction précède le nom du signataire. Il s’écrit avec la minuscule initiale, mais l’article qui le précède prend la majuscule. Cette mention est toujours suivie d’une virgule. Si le titre de fonction ne peut tenir sur une seule ligne, il n’est pas nécessaire de commencer la deuxième ligne en retrait :
Le titre de fonction suit le nom du signataire si celui-ci exerce les mêmes fonctions que d’autres membres du service :
Lorsque la personne qui signe la lettre agit officiellement au nom du supérieur dont elle est le fondé de pouvoir, elle doit faire précéder sa signature de la mention p.p. (par procuration) :
Lorsque la lettre est signée par une personne autre que celle qui détient le pouvoir de signature (p. ex. un subordonné autorisé par son supérieur), la mention pour est indiquée devant le titre de fonction :
Il n’est pas d’usage, en français, d’écrire le nom de la personne pour laquelle on signe; on mentionne uniquement son titre. Toutefois, s’il est nécessaire de le faire, on peut suivre la présentation suivante :
Si le signataire occupe un poste à titre intérimaire, il doit généralement l’indiquer de la façon suivante :
Lorsqu’une lettre doit porter une double signature, la personne dont le niveau hiérarchique est le plus élevé signe à droite :
La secrétaire,
(signature)
Lyne Gosselin
La directrice,
(signature)
Jacqueline Benoît
En règle générale, on indique à la fin de la lettre, contre la marge de gauche et à la hauteur de la signature, les initiales (prénom et nom) de la personne qui a rédigé la lettre et de la personne qui l’a tapée. On inscrit d’abord en majuscules les initiales de la première, puis en minuscules, après une barre oblique, les initiales de la seconde (voir 8.1.17 Modèle de lettre).
Lorsqu’on ajoute des documents à la lettre, on l’indique en écrivant Pièce jointe ou Pièces jointes, en abrégé p ou . j .P J, au-dessous de la signature, contre la marge de gauche. Cette mention est suivie du deux-points, à l’exception de p : . j .
Par souci d’uniformité dans une même lettre, on utilise soit les mentions au long (Pièce jointe et Copie conforme) soit les abréviations (p. j. ou PJ et c. c. ou CC).
Lorsqu’on tient à ce qu’une ou plusieurs personnes reçoivent des copies de la lettre, on utilise la mention Copie conforme, c ou . c .C C, suivie du nom de la ou des personnes concernées. Cette mention est suivie du deux-points, à l’exception de c Elle se place au-dessous de la mention des pièces jointes : . c .
Par souci d’uniformité dans une même lettre, on utilise soit les mentions au long (Pièce jointe et Copie conforme) soit les abréviations (p. j. ou PJ et c. c. ou CC).
Lorsqu’une lettre comporte plus de deux pages, il est fortement recommandé de numéroter la deuxième page et, le cas échéant, les suivantes. On peut le faire de différentes façons : au haut de la page, au centre, ou encore dans l’angle supérieur droit. On peut aussi ajouter …2 ou …/2 dans l’angle inférieur droit de la première page pour annoncer que la lettre se continue, et ainsi de suite pour les pages suivantes (…3 ou …/3, etc.).
On reproduit sur l’enveloppe les éléments donnés dans la vedette, c’est-à-dire le nom et l’adresse du destinataire, selon les règles énoncées dans la Recommandation linguistique Écriture des adresses postales au Canada. Ces éléments, qu’on appelle la suscription, se mettent au-dessous et à droite du centre de l’enveloppe.
Les mentions Personnel ou Confidentiel, de même que les mentions d’acheminement Par avion, Recommandé, Par exprès s’écrivent en majuscules et se placent à gauche de la suscription. Quant à la mention À l’attention de, elle peut figurer au-dessus ou à gauche de la suscription. Toutes ces mentions peuvent être soulignées.
L’adresse complète de l’expéditeur se place dans l’angle supérieur gauche de l’enveloppe. Elle doit également respecter les règles énoncées dans la Recommandation linguistique Écriture des adresses postales au Canada.
PERSONNEL
le 12 février 19--
Monsieur Roger Labonté
101, promenade Colonel By
Ottawa (Ontario) K1A 0N5
Objet : Stage de ressourcement
Monsieur,
Conformément à ce qui a été convenu, le Service de la formation et de l’évaluation vous accueillera du 11 au 15 mars prochain à l’occasion d’un stage de ressourcement des traducteurs.
Afin d’adapter le stage à vos besoins particuliers, nous vous demandons de bien vouloir nous faire parvenir, au plus tard le 19 février, les documents suivants :
— le formulaire Profil du participant (ci-joint) dûment rempli;
— cinq échantillons (d’au moins 500 mots chacun) représentatifs de votre travail, traduits en entier par vous et prélevés avant l’étape de la révision (inclure les versions anglaise et française de chacun des textes). Ces échantillons permettront à la formatrice de mieux cerner vos besoins.
La formatrice communiquera avec vous avant le stage pour compléter le dossier. Par ailleurs, vous êtes prié de vous présenter à nos locaux à 9 h le lundi 11 mars.
Les frais d’inscription seront facturés à votre organisme après la tenue de l’activité.
Je vous remercie de faire appel à nos services. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi, au 819-953-4000.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
Le chef de la Formation et de l’Évaluation,
(signature)
Gilles Gagnon
GG/am
p.j. Formulaire Profil du participant
c.c. Mme Lyne Laframboise, Formation et Évaluation
Dans la fonction publique, la note de service est l’outil de communication interne de loin le plus utilisé. Elle sert à la transmission de renseignements, à la communication de directives au personnel et à l’échange d’informations. Sa présentation est généralement normalisée.
Au contraire de la lettre, la note de service ne comporte ni formule d’appel ni formule de salutation. On y retrouve cependant les éléments suivants :
Destinataires /
To:
Gestionnaires du Bureau de la traduction
Expéditeur /
From:
Gilles Gagnon
Chef, Formation et Évaluation
Bureau de la traduction
Date /
Date:
le 6 mars 1996 ou Le 6 mars 1996
Objet /
Subject:
Séance d’information sur le Canadian Oxford Dictionary
Mme Katherine Barber, de la Oxford University Press of Canada, donnera un exposé sur le Canadian Oxford Dictionary le mardi 12 mars à 10 h. L’exposé durera un peu plus d’une heure et aura lieu à la pièce C-2, Phase II, Place du Portage, 165, rue de l’Hôtel-de-Ville, à Gatineau.
Les personnes intéressées doivent confirmer leur participation auprès d’Anne Miron, au 819-997-4000.
(signature)
© Services publics et Approvisionnement Canada, 2024
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