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Les formes les plus communes de banditisme sont les attaques 2 à main armée, les assassinats, les détournements 1 et 2 d’avion, les enlèvements et les prises d’otage. Trois critères définissent généralement le banditisme : la violence souvent extrême contre les personnes, le professionnalisme et le support matériel et psychologique d’un groupe.
Aussi, en France, les auteurs d’actes de banditisme entrent-ils dans les catégories suivantes : les malfaiteurs réunis en bande organisée, les auteurs de vols qualifiés commis avec port d’armes, les malfaiteurs qui font usage d’explosifs, les auteurs d’extorsion de fonds, d’homicides volontaires.
Lutte contre le banditisme. « La loi française de 1949 sur les publications destinées à la jeunesse interdit de présenter sous un jour favorable le banditisme. » Apologie du banditisme.
Tout comme le banditisme, le brigandage s’exerce le plus souvent par des malfaiteurs réunis en bandes organisées. Le Code pénal français prévoit une série de dispositions relatives aux diverses formes de brigandage : attentats contre la sécurité de l’État, organisation de bandes armées concertées, association de malfaiteurs, action concertée à force ouverte avec violences par groupe, vol en réunion et en armes, bande de pillards. Exercer des brigandages contre la sûreté de l’État.
© Centre de traduction et de terminologie juridiques (CTTJ), Faculté de droit, Université de Moncton