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Les lettres minuscules employées isolément dans le corps du texte s’écrivent parfois entre guillemets (voir 7.3.8 Lettres de l’alphabet), mais le plus souvent en italique :
Les lettres d’ordre (a, b, c…) qui introduisent les éléments d’une énumération peuvent se mettre en italique. On peut aussi utiliser le gras ou le gras italique pour les faire ressortir davantage :
Dans les lois et les règlements, la lettre indiquant l’alinéa s’écrit en italique, mais les chiffres romains indiquant le sous-alinéa ne prennent pas l’italique :
Les lettres minuscules qui servent à identifier les éléments d’un diagramme, d’une illustration, surtout lorsque ces lettres sont susceptibles d’être citées dans le corps du texte, se mettent en italique :
Il en va de même des minuscules et de certains termes employés en mathématiques :
Les lettres minuscules employées comme symboles d’unités de mesure restent en caractères ordinaires :
En général, les majuscules ne se mettent pas en italique :
On compose en italique certaines indications au lecteur qui, sans faire partie du texte principal, l’explicitent ou le commentent. Il en va ainsi des indications d’interruption, de bruits, de marques d’approbation accueillant les remarques d’un orateur dans les procès-verbaux, les comptes rendus, les transcriptions de débats :
La règle est la même pour les titres, fonctions ou grades des participants :
On met en italique les mots Report, À reporter, dans un texte de comptabilité ou de statistique, ainsi que les formules À suivre, Suite, Suite et fin, Suite de la page précédente, Suite à la page… ou leurs équivalents dans un journal ou une publication périodique. Les parenthèses entourant ces formules restent en romain, c’est-à-dire droites :
Dans la présentation d’une pièce de théâtre, on compose en italique la description des décors, des éclairages, des costumes, des jeux de scène, des jeux de physionomie, les précisions de mise en scène et toutes les informations placées entre parenthèses :
Quand on ne dispose pas de l’italique, il est courant de laisser toutes les indications complémentaires du texte en caractères ordinaires.
Il est de tradition de composer en italique les exemples donnés dans les dictionnaires et les travaux de nature linguistique, pour les distinguer du texte. Mais souvent on les met simplement en retrait, comme dans le présent guide.
Certaines parties complémentaires d’un ouvrage ou d’un écrit quelconque, comme la dédicace, l’épigraphe, l’avertissement, la préface ou l’avant-propos, peuvent se composer en italique. La marque de propriété littéraire est la plupart du temps en romain :
Dans un lexique ou dans la table alphabétique des travaux scientifiques, des catalogues, des études littéraires, des dictionnaires et des encyclopédies, on peut mettre en italique le mot ou l’intitulé de rubrique auquel on renvoie le lecteur :
Dans un errata, la correction qu’il faut effectuer se met en italique, mais le mot inexact est habituellement en romain, encadré de guillemets :
ERRATA
Dans les errata, on peut substituer le caractère gras à l’italique. De même, dans les tables alphabétiques, on peut remplacer l’italique par le gras, les petites capitales ou les guillemets.
On met en italique les noms des notes de musique, mais non les indications qui les accompagnent :
Les expressions caractérisant les mouvements musicaux se mettent en italique sur la partition même, mais dans une phrase elles restent en caractères ordinaires :
Dans un titre d’œuvre, déjà en italique, le nom de la note de musique reste en italique :
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